Je suis né le 08 janvier 1975 dans une petite maison au coeur de Crespos... un village que j'adore...un village où il est bon traîner dans les petites "ruas".... à l'ombre d'un oranger....siroter un "Sumol"...mon pays me manque...les odeurs...les couleurs...les bruits....!
L'adoption de la version actuelle du drapeau coïncide avec l'instauration de la République du Portugal en 1911. Du côté du mat et occupant les 2/5 de la largeur du drapeau, la couleur verte symbolise l'espoir et trouve peut être son origine dans la croix d'Avi, dynastie ayant accédé au trône en 1385. La couleur rouge occupe la largeur extérieure et représente le courage et le sang versé dans la lutte pour l'indépendance. Centrées sur la ligne de séparation des deux couleurs figurent les armoiries du Portugal: une sphère armillaire, septs château et cinq écus azurs. La sphère armillaire se compose de cercles traduisant les mouvement des asres autour du globe terrestre: cet instrument d'astronomie rends hommage aux navigateurs portugais et à leurs nombreuses découvertes. La tradition populaires associe aux sept châteaux d'or présents sur le suppot rouge les sept villes conquises au XIIème siècle par Alphonse Ier Henriques, premier roi du Portugal à l'origine de l'indépendance du pays. L'écu central abrite cinq écus: l'hypothèse la plus répandu rapproche ces écus des cinq rois maures défaits par Alphonse Ier Henriques durant la même bataille. Chacun des écus contient cinq besant (monnaie d'or de l'Empire Byzantin) symbolisant les cinq plaie du Christ
Notre drapeau
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PORTO PORTO, une belle entre les vignes et l'océan! Mondialement connue des amateurs de vin, PORTO est magnifiquement située à l'embouchure du RIO DOURO. "Ville de Granite", elle étale ses rues étroites entre les collines et les méandres du fleuve. AVec son vieux quartier de Ribeira classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, ses églises baroques, ses élégants ponts métalliques et ses caves, elle a su garder intactes les richesses de son passé commercial. Mais la deuxième ville du Portugal est aussi une ville jeune, chaleureuse, capitale d'une région à la fos viticole et océane.
COIMBRA C'est une ville que j'ai découverte grâce à mon cousin Pédro (étudiant) En bordure d'un fleuve, comme la ville de Porto, Coimbra est située au sommet d'un monticule où trône la tour de l'université, le symbole de la ville. Capitale du royaume jusqu'en 1385, Coimbra va accueillir dès 1308, en quasi permanence, l'unique université du royaume, et ce, jusqu'en 1911. Réputée dès le XVe siècle pour l'excellence de ses cours de droit romain et de philosophie, l'université a formé de nombreux étudiants devenus célèbres. Le poète Camões en est un des exemples les plus illustres. Aujourd'hui, lors de la période des examens, vous aurez encore l'occasion de voir les étudiants en costume traditionnel, tout vêtus de noir et portant sur les épaules une grande cape. Autre curiosité de la vie universitaire, une tradition fait que la plupart des étudiants se regroupent au sein de communautés appelées repúblicas. Ces dernières n'ont d'autre but que le partage du logement et des tâches communes pendant toute la durée des études. L'université accueille encore chaque année jusqu'à 18 000 étudiants. La visite commence dans la ville basse, devant l' Arco de Almedina (littéralement «l'arc de la médina», soit la porte de la ville musulmane), situé sur l'élégante Rua Ferreira Borges. Au temps des Maures, cette porte fortifiée servait d'entrée principale à la ville, protégée par une enceinte. Poursuivez votre chemin tout droit afin d'accéder à une série d'escaliers qui forment la Rua do Quebra Costas, signifiant littéralement «rue de la côte brisée». Cette rue, très anime vous conduira au Largo da Sé Velha, où se trouve l'ancienne cathédrale de Coimbra. Quelque peu écrasée par les immeubles environnants, la Sé Velha fut édifiée en 1139 par le premier roi du Portugal. Son aspect de forteresse nous démontre qu'à cette époque encore la crainte des invasions était grande. Au cours des siècles à son merveilleux style roman d'origine, va venir s'ajouter un portique de style Renaissance. En pénétrant à l'intérieur de la cathédrale, vous pourrez observer dans le choeur un très beau retable, réalisé par les artistes flamands Jean de Ypres et Olivier de Gand. Une belle chap elle, ainsi que des fonts baptismaux méritent également votre attention. Aussi, ne manquez pas de faire une petite visite du clo ître, de style gothique. Poursuivez votre visite en escaladant la Rua Borges Carneiro, qui conduit au Museu Nacional Machado de Castro. Du nom du célèbre sculpteur portugais, ce musée a été aménagé dans l'ancien palais épiscopal, lui même érigé au XIIe siècle sur l'emplacement d'un ancien édifice romain. Il conserve encore aujourd'hui une partie de son cloître originel ainsi que certains éléments datant de la période romaine. On ne saurait, bien entendu, quitter Coimbra sans avoir vu le fleuron de ses attraits, soit l'université. Dans la cour principale, on peut admirer une série d'édifices qui, bien que de styles différents, se succèdent de manière très harmonieuse. Avant l'exploration des bâtiments mêmes, débutez par une petite flânerie sous la Via Latina. Il s'agit d'une allée couverte, bordée de colonnes, qui longe l'édifice situé à droite de la porte de fer. Le bâtiment attenant date du XVIIIe siècle; il loge dans son aile droite le rectorat et, dans son aile gauche, la grande Salle des Actes, appelée Sala dos Capelos, dont le plafond à caissons mérite admiration. Pour la suite de la visite, rendez vous de nouveau dans la cour centrale afin d'y admirer dans un premier temps l'élégant portail manuélin de la Capela São Miguel puis, son intérieur, entièrement recouverts d'azu lejos. Enfin, la plus spectaculaire merveille du site est la bibliothèque de l'université, offerte par le roi João V en 1724. L'exubérance de son style baroque en fait une des plus riches bibliothèques du Portugal. Dans la ville basse, autre prodige que l'on ne saurait manquer, le Mosteiro y Igreja de Santa Cruz. Édifié au XVIe siècle, le bâtiment remplace un ancien monastère construit au XIIe siècle et érigé sous le règne du premier roi du Portugal. Le très beau portail, aujourd'hui admirablement restauré, datant de 1523, est l'oeuvre de trois artistes de la célèbre école de Coimbra, soit Diogo de Castilho, Nicolas Chantereine et Jean de Rouen. Étrangement, un arc baroque lui fut ajouté durant le XVIIIe siècle, défigurant ainsi l'oeuvre originale. En pénétrant dans l'église, le visiteur sera immédiatement séduit par les azulejos qui décorent les murs de l'édifice ainsi que par sa magnifique chaire, finement sculptée.
REVOLUTION ... Notre Histoire
Tôt Le 25 avril 1974, au Portugal(1) , des capitaines en rupture avec le système de Salazar(2) se révoltent et prennent le pouvoir. La voix calme d'un mystérieux « Commandement du Mouvement des Forces armées» transmise par les radios de Lisbonne, Renascenta et Radio Clube(3) donnant le signal de la révolte aux capitaines mutins, exhorte les gens à rester chez eux et à garder leur calme. C'est compter sans les sentiments de la population. Ne tenant aucun compte de ces conseils, répétés à intervalles réguliers, ils envahissent les rues et les places en se mêlant aux militaires. Le Premier ministre Marcelo Caetano se réfugie dans la principale caserne de gendarmerie de Lisbonne où un jeune capitaine de cavalerie, Salgueiro Maia, accepte sa reddition. Caetano, qui avait succédé en 1968 au dictateur Antonio Salazar, victime d'une attaque cérébrale (1899-1970), demande à remettre le pouvoir au général Antonio Spinola « pour qu'il ne tombe pas dans la rue». Puis le successeur du dictateur, est mis dans un avion avec un aller simple pour le Brésil. Seule la PIDE, la redoutable police politique qui a entretenu la terreur durant cinquante ans de salazarisme, oppose une résistance qui fera six morts. Elle est réduite durant la nuit. Toute la journée, une foule énorme s'est massée au centre-ville, près du marché aux fleurs, pour appuyer les rebelles de l'armée. Ce 25 avril 1974, c'est la saison des oeillets. Le lendemain, Spinola, le « général au monocle », annonce la formation d'une Junte de salut national sous sa présidence, et lit la proclamation du Mouvement des Forces armée (MFA) qui propose de rendre le pouvoir aux civils après des élections libres et de mener la politique des « trois D » : démocratiser, décoloniser et développer. Pour le Portugal, la page est tournée presque sans effusion de sang. Indissociablement liées, la démocratisation et la décolonisation allaient être accomplies avec le concours des partis politiques : le Parti communiste, seul doté de fortes assises dans le pays, dirigé dans laclandestinité par Alvaro Cunhal, le Parti socialiste, créé en Allemagne en 1973 par Mario Soares(4), ainsi que les nouveau-nés : Parti social démocrate (PSD, libéral) et le Centre démocratique social (CDS,droite). Rentrés d'exil, Soares et Cunhal vont célébrer ensemble, dans une ambiance fraternelle, la première fête du 1er mai non interdite. Le sort de la révolution se noue durant l'année 1975. D'un côté, le général Spinola cherche à gagner du temps dans les colonies africaines. Modernisant un vieux mythe salazariste, il verrait bien le maintien de " l'empire portugais " sous forme d'une fédération. De l'autre, Mario Soares commence à parler du " socialisme du possible ". Entendez la mise en place d'un Portugal au capitalisme rénové, tourné vers l'Europe. Les communistes appuyés sur les mouvements populaires dans la région de Setubal, dans l'Alentejo et au sein de l'armée, veulent consolider les conquêtes démocratiques par des conquêtes économiques et sociales. Enfin, au sein d'une armée délivrée de sa hiérarchie salazariste, les surenchères de gauche, pour ne pas dire gauchistes, font florès. Les affrontements les plus durs portent notamment sur la mise en place ou non d'un syndicat unique. Les socialistes s'affrontent durement sur cette question avec certains secteurs du MFA (Mouvement des Forces armées : mouvement des militaires fidèles au 25 avril). Maria de Lourdes Pintasilgo (elle fut premier ministre durant quelques mois a l'époque où le général Eanes était président de la République) juge durement cette époque . La tentative de coup de force du général Spinola, le 25 novembre 1975, marque la fin de la première époque. Les formations de droite, organisées ou non, sont battues comme en témoigne la grande vague de nationalisations des banques et, dans la foulée, des terres et de l'essentiel des grandes entreprises portugaises. S'ouvre une ère de provocations en tout genres y compris gauchistes. Elles vont conduire à la chute des gouvernements, proches des communistes, du général Gonçalves, à la division et à l'extinction du MFA, et enfin à la mise en place d'un système politique et économique oscillant entre une droite réputée modérée et un socialisme menant une politique libérale bien tempérée. A la fin des années soixante-dix, l'économie portugaise est restructurée pour la préparer à l'adhésion à l'Europe de 1986. Dans le même temps, des révisionssuccessives de la Constitution la vident de toutes ses conquêtes sociales (nationalisations, réforme agraire, contrôle des banques, droit d'interventions des salariés dans la gestion, etc.)...
Cette revolution a qu'en même permit de sortir le pays de la tyrannie de Salazar par la résistances des soldats alliés aux civils. Pour une fois ce furent les soldats qui eurent l'idée de résistance en premier : Ils furent les investigateurs de la révolution au lieu d'en être les opposants .

Quand vous pensez au Portugal l'une des premières choses qui vous vient à l'esprit est le FADO. Ayant été reprsenté pendant plusieurs année dans les pays étrangers par AMALIA, le FADO est desormais le symbole mondial du Portugal. Considéré comme l'expression de l'âme portugaise, le FADO est chanté dans les bars, restaurants dans tout le pays. Le FADO est supposé être né des chants Maures après la conquètes de Chrétiens. Il a traversé plusieurs siècles et sa base n'a pas changé: la mélancolie et la tristesse sont toujours aussi présentes. D'autres disent qu'ils provient de la musique des esclaves Brésiliens sous la forme de Lundumn arrivant au Portugal avec les marins rentrant de longs voyages en mer. Une autre possibilité serait que le FADO ait été crée par les ménestrels et les troubadours. Leurs chants d'amour pour les femmes sont très similaires à ceux que nous connaissons aujourd'hui. Quelle qu'en soit l'origine, le FADO reste quand même la fierté et la joie du Portugal. Cette musique traditionnelle est un trésor qui coule dans le sang de tous les Portugais.
MES RACINES
BRAGA je suis né à quelques kms ! S'il fallait définir la ville en quelques mots, ce serait sans nul doute ceux de "Braga la pieuse" que l'on utiliserait! Et pour cause, car nulle autre ville au Portugal n'a autant d'églises par habitant. Néanmois, malgré son histoire très ancienne et sa quantité impressionnante d'édifices religieux, force est de constater que l'architecture local ne brille pas par la diversité. BRAGA est, en effet, surtout riche en style baroque. BRAGA est même une ville exclusivement baroque, pourrait-on affirmer! Les fervents de ce style seront donc ravis de flâner dans la ville afin de découvrir ces multitudes façades baroques. Plus d'infos à venir avec des photos...!
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